Brésil, 29 de Abril de 2008, São Paulo
Succès pour tous les vins "bio" et "biodynamie" du Groupe Renaissance des A.O.C.
Pour nous, émotions ! Force et expressivité de la vie brésilienne retrouvées.
Avenue Paulista, São Paulo
Ce n'était pas une première visite. Ces vingt dernières années nous ont vu faire plusieurs voyages au Brésil. Rio de Janeiro, São Paulo, Fortalezza, nous ont accueillis pour des colloques, conférences, etc., mais aussi pour la réalisation d'un film sur la vie de Paulo Freire, le grand éducateur brésilien. Magnifique occasion pour nous de revoir nos contacts et chers amis de l'époque. Un grand merci spécial pour Mitsu et Moacir, leurs familles et leurs amis. Nous avons retrouvé avec plaisir cet accueil brésilien si chaleureux, si sensible et si proche. Et surtout nous avons visité l'actuel et l'impressionnant Institut Paulo Freire dirigé par Moacir Gadotti cher ami de Paulo Freire. Que d'émotions, découvertes, rencontres ! Que d'actions et de projets !
En ces derniers jours d'avril 2008, le Brésil semblait découvrir la "biodynamie" peut-être même le vin "bio" tout court. L'article sur deux pages, paru dans le plus traditionnel des grands quotidiens, O Estado de San Paulo, du 24 de abril de 2008, avec photos et référence à Lagarette, témoigne de ce nouvel interêt.
Pendant le salon au Buffet Torres, regards étonnés, questions de tous ordres, etc. Les viticulteurs du Groupe Renaissance des A.O.C., présents à São Paulo lors de cette dégustation, n'ont pas eu à regretter leur déplacement. Les professionnels étaient au rendez-vous, le public "éclairé" et "amateurs de bons vins" également. Tous, intéressés et passionnés par la table de Lagarette placée dans l'espace Expand, chaîne de caves brésiliennes avec de très grands vins du monde.
À la demande des organisateurs tous les viticulteurs avaient amenés un échantillonnage de leur terre. Ainsi, présentée dans une sorte de coupelle, placée devant chaque Cuvée, la terre de Lagarette exprimait avec force ses odeurs. Une fourmi bien française avait voyagé, clandestinement avec la terre, les graviers et les pierres calcaires. Ses déplacements sur la table de dégustation rappelait que la terre, le sol de Lagarette, n'est pas un simple support pour les cultures, mais un être pétri de vie. Mais il n'y avait pas que la terre qui exprimait ses odeurs. Jamais le vin de Lagarette ne nous est apparu aussi expressif. Peut-être se sentait-il bien en terre brésilienne ? La qualité des saveurs exprimées, se lisait sur les visages et les regards des dégustateurs. Pas besoin de mots pour dire son plaisir. Cela se voit. Autre indicateur, plus trivial, mais d'importance : le vin n'était jamais recraché, mais bien bu jusqu'à la dernière goutte. Très rare en dégustation !
Une fois de plus Lagarette fut pris dans une sorte de tourbillon de plus en plus intense, pour finir en tornade. Jeu des interactions, échanges d'avis entre professionnels et dégustateurs éclairés. Plus le temps passait, plus les langues se déliaient. Et le dernier de nous dire vers 22 h, en présence de ses amis : "Je ne peux pas rentrer chez moi sans avoir goûté à nouveau, cet excellent Renaissance 2003 de Lagarette. Pour moi, un des meilleurs vins du salon", a-t-il ajouté. Comblé le viticulteur...
Nous ne pouvons finir cette courte note brésilienne, sans souligner en quelques mots, la force et l'expressivité du mode de vie brésilien retrouvées. On y serait bien resté. Surement, nous y retournerons et sous peu.
Pour nous, émotions ! Force et expressivité de la vie brésilienne retrouvées.
Avenue Paulista, São Paulo
Ce n'était pas une première visite. Ces vingt dernières années nous ont vu faire plusieurs voyages au Brésil. Rio de Janeiro, São Paulo, Fortalezza, nous ont accueillis pour des colloques, conférences, etc., mais aussi pour la réalisation d'un film sur la vie de Paulo Freire, le grand éducateur brésilien. Magnifique occasion pour nous de revoir nos contacts et chers amis de l'époque. Un grand merci spécial pour Mitsu et Moacir, leurs familles et leurs amis. Nous avons retrouvé avec plaisir cet accueil brésilien si chaleureux, si sensible et si proche. Et surtout nous avons visité l'actuel et l'impressionnant Institut Paulo Freire dirigé par Moacir Gadotti cher ami de Paulo Freire. Que d'émotions, découvertes, rencontres ! Que d'actions et de projets !
En ces derniers jours d'avril 2008, le Brésil semblait découvrir la "biodynamie" peut-être même le vin "bio" tout court. L'article sur deux pages, paru dans le plus traditionnel des grands quotidiens, O Estado de San Paulo, du 24 de abril de 2008, avec photos et référence à Lagarette, témoigne de ce nouvel interêt.
Pendant le salon au Buffet Torres, regards étonnés, questions de tous ordres, etc. Les viticulteurs du Groupe Renaissance des A.O.C., présents à São Paulo lors de cette dégustation, n'ont pas eu à regretter leur déplacement. Les professionnels étaient au rendez-vous, le public "éclairé" et "amateurs de bons vins" également. Tous, intéressés et passionnés par la table de Lagarette placée dans l'espace Expand, chaîne de caves brésiliennes avec de très grands vins du monde.
À la demande des organisateurs tous les viticulteurs avaient amenés un échantillonnage de leur terre. Ainsi, présentée dans une sorte de coupelle, placée devant chaque Cuvée, la terre de Lagarette exprimait avec force ses odeurs. Une fourmi bien française avait voyagé, clandestinement avec la terre, les graviers et les pierres calcaires. Ses déplacements sur la table de dégustation rappelait que la terre, le sol de Lagarette, n'est pas un simple support pour les cultures, mais un être pétri de vie. Mais il n'y avait pas que la terre qui exprimait ses odeurs. Jamais le vin de Lagarette ne nous est apparu aussi expressif. Peut-être se sentait-il bien en terre brésilienne ? La qualité des saveurs exprimées, se lisait sur les visages et les regards des dégustateurs. Pas besoin de mots pour dire son plaisir. Cela se voit. Autre indicateur, plus trivial, mais d'importance : le vin n'était jamais recraché, mais bien bu jusqu'à la dernière goutte. Très rare en dégustation !
Une fois de plus Lagarette fut pris dans une sorte de tourbillon de plus en plus intense, pour finir en tornade. Jeu des interactions, échanges d'avis entre professionnels et dégustateurs éclairés. Plus le temps passait, plus les langues se déliaient. Et le dernier de nous dire vers 22 h, en présence de ses amis : "Je ne peux pas rentrer chez moi sans avoir goûté à nouveau, cet excellent Renaissance 2003 de Lagarette. Pour moi, un des meilleurs vins du salon", a-t-il ajouté. Comblé le viticulteur...
Nous ne pouvons finir cette courte note brésilienne, sans souligner en quelques mots, la force et l'expressivité du mode de vie brésilien retrouvées. On y serait bien resté. Surement, nous y retournerons et sous peu.
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