Vin et pesticides ? la folie...
Pour des vins sans toxique ! La bataille sera dure ! A Lagarette, nous rêvons d'une liste de vins sans toxique qui serait au fondement de tous les classements à venir... Aujourd'hui 95% des vins conventionnels contiennent des pesticides... Que nous réserve le " Grenelle de l'Environnement " ? A ce jour pleins d'idées mais rien de précis ...
Les pesticides sont aussi présents dans le vin y compris les " grands crus ". Nous le savons tous et depuis longtemps. Mais des esprits pollués et pollueurs font tout ce qu’ils peuvent - et ils peuvent beaucoup - pour nous empêcher de dire les faits et montrer, démontrer que c’est nous les " bios " qui sommes porteurs de germes à risque. Bien sûr, nous sommes porteurs d’un germe à risque, celui lié à la vérité, car la vérité est toujours dangereuse pour celui qui a bâti son pouvoir et sa fortune sur le mensonge et la tromperie.
Il y a de cela près de dix ans, nous avons demandé, à notre laboratoire œnologique, une analyse complète du vin de Lagarette « Complète ! Que voulez-vous dire ? », nous a rétorqué notre analyste. Et nous de préciser, une analyse qui donnerait à voir tous les éléments principaux qui participent de la qualité de notre vin. « Cela ne se fait pas » nous a précisé, en retour, notre analyste. « Nous ne savons pas faire et nous ne pouvons pas faire ». Sans doute voulait-il nous dire en répondant ainsi que les instances de tutelle, dont il dépend, lui interdisaient toute analyse de ce type.
C’est en Suisse que nous avons trouvé compréhension et réponse et c’est toujours de la Suisse que nous vient, aujourd’hui, une réponse scientifique solidement établie.
Une étude du Service de Protection de la Consommation de l’Etat de Genève a mis en analyse 250 vins d’origine suisse et étrangère. Cette étude avait pour objectif de rechercher les résidus de pesticides dans les vins issus de l’agriculture conventionnelle et biologique. 95 % des vins issus de la viticulture conventionnelle contenaient des pesticides !
Le service a analysé 70 vins bio, essentiellement d’origine suisse (52), surtout genevoise, et 18 majoritairement français. La moitié des vins bio (33) ne contiennent pas de pesticides et 27 n’en recèlent que de faibles traces, inférieures à 10mg/L.
Notre souhait, aujourd’hui, c’est que la vérité éclate et que le politique accompagne de ses visions et décisions un affichage bien réel de ce que contiennent les vins, nos vins, ceux que nous aimons et défendons. NOUS RÊVONS D’UNE LISTE DE VINS SANS TOXIQUE QUI SERAIENT AU FONDEMENT DE TOUS LES CLASSEMENTS A VENIR.
L’ignorance, la tromperie, et le mensonge ont aujourd’hui pour effet le développement chez les consommateurs de cancers, d’infertilité masculine et de toutes sortes de maladies des muqueuses.
Ne rêvons pas ! La bataille va être difficile car l’EPCA, Association européenne de la protection des plantes, qui représente 80 % des producteurs de pesticides de l’Union Européenne menace : « si les normes sont trop contraignantes, nous perdrons 30 à 75 % de notre marché et les 28.000 emplois de nos entreprises seront menacés ». Le capitalisme financier se cache derrière les emplois de ses entreprises pour continuer à fabriquer des produits qui sèment la mort.
Nous ne pouvons plus accepter ce type de pratiques. Elles sont destructrices de nos vies et de nos santés.
Les pesticides sont aussi présents dans le vin y compris les " grands crus ". Nous le savons tous et depuis longtemps. Mais des esprits pollués et pollueurs font tout ce qu’ils peuvent - et ils peuvent beaucoup - pour nous empêcher de dire les faits et montrer, démontrer que c’est nous les " bios " qui sommes porteurs de germes à risque. Bien sûr, nous sommes porteurs d’un germe à risque, celui lié à la vérité, car la vérité est toujours dangereuse pour celui qui a bâti son pouvoir et sa fortune sur le mensonge et la tromperie.
Il y a de cela près de dix ans, nous avons demandé, à notre laboratoire œnologique, une analyse complète du vin de Lagarette « Complète ! Que voulez-vous dire ? », nous a rétorqué notre analyste. Et nous de préciser, une analyse qui donnerait à voir tous les éléments principaux qui participent de la qualité de notre vin. « Cela ne se fait pas » nous a précisé, en retour, notre analyste. « Nous ne savons pas faire et nous ne pouvons pas faire ». Sans doute voulait-il nous dire en répondant ainsi que les instances de tutelle, dont il dépend, lui interdisaient toute analyse de ce type.
C’est en Suisse que nous avons trouvé compréhension et réponse et c’est toujours de la Suisse que nous vient, aujourd’hui, une réponse scientifique solidement établie.
Une étude du Service de Protection de la Consommation de l’Etat de Genève a mis en analyse 250 vins d’origine suisse et étrangère. Cette étude avait pour objectif de rechercher les résidus de pesticides dans les vins issus de l’agriculture conventionnelle et biologique. 95 % des vins issus de la viticulture conventionnelle contenaient des pesticides !
Le service a analysé 70 vins bio, essentiellement d’origine suisse (52), surtout genevoise, et 18 majoritairement français. La moitié des vins bio (33) ne contiennent pas de pesticides et 27 n’en recèlent que de faibles traces, inférieures à 10mg/L.
Notre souhait, aujourd’hui, c’est que la vérité éclate et que le politique accompagne de ses visions et décisions un affichage bien réel de ce que contiennent les vins, nos vins, ceux que nous aimons et défendons. NOUS RÊVONS D’UNE LISTE DE VINS SANS TOXIQUE QUI SERAIENT AU FONDEMENT DE TOUS LES CLASSEMENTS A VENIR.
L’ignorance, la tromperie, et le mensonge ont aujourd’hui pour effet le développement chez les consommateurs de cancers, d’infertilité masculine et de toutes sortes de maladies des muqueuses.
Ne rêvons pas ! La bataille va être difficile car l’EPCA, Association européenne de la protection des plantes, qui représente 80 % des producteurs de pesticides de l’Union Européenne menace : « si les normes sont trop contraignantes, nous perdrons 30 à 75 % de notre marché et les 28.000 emplois de nos entreprises seront menacés ». Le capitalisme financier se cache derrière les emplois de ses entreprises pour continuer à fabriquer des produits qui sèment la mort.
Nous ne pouvons plus accepter ce type de pratiques. Elles sont destructrices de nos vies et de nos santés.
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